Pensez-y à deux fois avant de rêver à une grosse indemnité à condition de partager indûment vos gains avec un avocat
Fort à parier que vous devrez attendre 5 à 10 ans avant de voir la couleur de l’argent.
“Il y a des incompétents et des fraudeurs dans tous les domaines; la profession d’avocat n’échappe pas à la règle”.
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EXPERT VS. AVOCAT
Nous recommandons à tous les accidentés de contester sans se ruiner
Quelle est la différence avec Accident Direct et les avocats ?
Par les accidentés | Pour les accidentés.
Nous sommes indépendants du Barreau et fiers de l’être.
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L’ EXPERTISE
N’attendez pas la multiplication des expertises contre vous
Contrairement aux avocats et consultants traditionnels, notre approche consiste à éviter les délais.
Maximisez vos indemnités durant le processus de réadaptation jusqu’à la décision portant sur la consolidation des séquelles !
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LA RÉVISION
Soyez bien représenté au moment de la révision administrative
Il est préférable de vous aider dès cette étape afin d’obtenir un règlement satisfaisant.
Le but est d’éviter, autant que faire se peut, la judiciarisation inutile au TAQ | TAT.
Si votre recours en révision n’est pas entièrement accueilli, vous aurez déjà vos preuves médicales en mains.
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LE NO-FAULT
La justice n’appartient pas aux avocats mais bien aux justiciables
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nos régimes d’indemnisation furent instaurés.
Il est essentiel de miser sur la qualité des soins prodigués et la cohérence de la preuve médicale plutôt que de faire confiance aux avocats CNESST, IVAC ou SAAQ.
En fait, chez Accident Direct, nous réglons en révision ou conciliation plus de 80% de vos réclamations.
Le fondateur, Jimmy Tremblay, est spécialisé en dommages corporels et en droit administratif et détient, tout comme les avocats, un BAC en Droit.
Il a cependant préféré ne pas s’inscrire à l’école du Barreau par conviction.
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LA SUBROGATION LÉGALE
Ne jamais s’engager dans une opération juridique triangulaire
Nos concurrents obligent les victimes à signer une convention d’honoraires professionnels prévoyant une rémunération sous la forme d’un pourcentage se chiffrant de 20 à 30 %, en sus d’un montant forfaitaire variant de 2000 $ à 10 000 $.
Les avocats comme Jimmy Lambert ou Marc Bellemare s’assurent de toucher leur part, indépendamment de la qualité de leur travail.
En effet, leur clients doivent accepter la subrogation légale; le procureur perçoit ainsi directement votre chèque, pour ensuite vous remettre le reliquat.
Qu’arrive-t-il si vous êtes insatisfait de votre avocat ?
Vous ne pourrez changer de représentant, à moins d’assumer l’intégralité de la facture, y compris le remboursement des frais d’aide juridique, le cas échéant.
Étant donné que le Barreau protège avant tout ses membres au détriment de la justice, il vaut mieux fuir l’illusion d’une assurance juridique bidon.